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Le hasard de l'hérédité 

Tout d'abord, le diabète de type I représente 10% des cas dans le monde. Il est rare que le diabète soit lié à des antécédents familiaux, c'est-à-dire qu'il soit héréditaire.

Durant la fécondation, les cellules reproductrices transmettent à la cellule oeuf une série d'informations biologiques codant les "caractères" (par exemple la couleur des cheveux) transmissibles d'une génération à l'autre. On appelle "gène" l'unité d'information correspondant à un caractère et l'ensemble des gènes d'un individu est désigné sous le nom de "génome".

 

Il y a cependant des facteurs qui peuvent engendrer le diabète de type 1 :

 

des infections, liées à certains virus, à l'état du foetus ou au cours de la vie : la rubéole, l'entérovirus

un climat et des saisons froides

 

De plus, on peut rajouter que la prévalence de cette pathologie est plus élevée dans les pays éloignés de l'équateur, pour preuve en Finlande elle est de 65 pour 100000 habitants contre 34 pour 100000 habitants en France.

 

D’autre part, le risque approximatif de présenter un diabète de type 1 est de:

- 0,4% quand il n’existe aucun antécédent familial

- 2 à 4% quand la mère est atteinte de diabète de type 1

- 5 à 8% quand le père est atteint de diabète de type 1

De plus, d'après les témoignages que nous avons pu recueillir, nous pouvons constater que la forme de diabète des personnes interrogées n'est pas héréditaire puisque aucun d'entre eux n'a d'antécédents dans sa famille. 

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